Pour les entreprises des secteurs les plus dépendants des énergies fossiles (cimenterie, métallurgie, utilities, transport, production d’énergie), c’est la part du chiffre d’affaires que pourraient atteindre, voire dépasser, les surcoûts liés au carbone en 2030. L’estimation a été effectuée par la société EcoAct (groupe Atos) dans un scénario construit pour approcher l’objectif de réchauffement global fixé par l’Accord de Paris, à savoir : une augmentation maximale des températures de 1,5°C en 2100, en prenant pour référence les températures de la période préindustrielle (entre 1850 et 1900).